Le Venus Rover est un voilier solaire

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Planet Solar : Tour du monde à bord du plus grand bateau solaire du monde

Planet Solar : Tour du monde à bord du plus grand bateau solaire du monde
Anonim

Mars et Pluton sont les planètes (enfin, planète et nain planète) accaparant tout l’amour en ce moment, mais c’est important, il reste encore une merde d’espace à explorer. Et la NASA envisage d'envoyer un rover dans une direction différente, en direction de Vénus.

Il n’ya que deux obstacles à franchir pour essayer d’examiner la surface de la Evening Star: les pressions énormes (plus de 90 fois celles de la Terre) et les températures extrêmement élevées (près de 500 degrés Celsius, en faisant la planète la plus chaude du système solaire). Quelque chose d'aussi délicat que Curiosity ne peut pas gérer ce genre de problème. Vous aurez besoin de quelque chose dont les pièces et les instruments sont durs et durcis.

Ainsi, la NASA donne 245 000 dollars à une start-up de l'Arkansas pour développer des micropuces résistantes à la chaleur et à la pression qui pourraient être utilisées pour la construction et l'exploitation d'un rover pour Venus.

La société Ozark Integrated Circuits a déjà créé une puce pouvant résister à 350 degrés Celsius. Ozark souhaite essayer d’utiliser un substrat en carbure de silicium associé à une substance exclusive qui permet de résister à des températures plus élevées.

Les puces feraient partie du véhicule proposé par la NASA, le Venus Landsailing Rover, qui utiliserait les vents de haute densité de Vénus pour faire avancer le véhicule, et pourrait utiliser des ballons pour flotter au-dessus des obstacles et des terrains accidentés. Un tel mobile aurait toujours besoin d’un système de refroidissement efficace qui ne réduirait pas sa consommation en énergie. Une option pourrait être un moteur Stirling qui convertit la chaleur en énergie mécanique.

Si les tests d’Ozark réussissent, ils constitueront un formidable pas en avant dans la préparation d’un mobile pour l’étude de Vénus. Jusqu’à présent, les meilleures données que nous ayons pu recueillir sont la sonde Venera 14 de l’Union soviétique, qui a atterri sur Vénus par une chaude journée d’octobre 1981 et a survécu pendant 57 minutes avant de succomber à la chaleur. Pauvre petit gars.

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