L'algorithme «tendance» de Facebook, désormais non supervisé, est en train de se répandre

$config[ads_kvadrat] not found

Formation Publicité Facebook : Créer des publicités rentables sur Facebook - Le Guide Complet !

Formation Publicité Facebook : Créer des publicités rentables sur Facebook - Le Guide Complet !
Anonim

Vendredi, Facebook a annoncé qu’il supprimait sa fonction "Tendance" présumée éditoriale en faveur de ses algorithmes. Quelques jours seulement après la sortie du nouveau guide de popularité mains libres, Facebook s’est embarrassé: les algorithmes ont repris et renforcé l’histoire de Megyn Kelly, animatrice de Fox News, avec «aucune information factuelle… pour sauvegarder la revendication».

En d'autres termes, Facebook a retiré les humains de son équation des tendances, et l'algorithme sans frein est devenu sauvage. Les humains, en particulier ceux qui patrouillent (et naviguent) sur Internet, sont faillibles: ils partageront et vulgariseront des conneries. Si ces humains faillibles partagent suffisamment de conneries, ces algorithmes, désormais indépendants, régurgiteront les conneries. Le contenu viral porte bien son nom car il se propage comme un virus.

Apparition d’un article sur Facebook Trending, c’est comme donner des immunosuppresseurs aux patients atteints de pneumonie: la contagion redouble et l’histoire est considérée comme factuelle. La justification, en 2016, est une source fiable qui rapporte un article. Facebook Trending, sous surveillance humaine, est devenu une source quelque peu réputée.

Mais à présent, les algorithmes de Facebook sont soumis à l’esprit fantasque, partiel et collectif d’Internet. Facebook, dans son langage, donne l'impression que les humains gardent encore un oubli: le changement, écrit Facebook, "rendra le produit plus automatisé et ne nécessitera plus que les gens écrivent des descriptions de sujets d'actualité". Facebook "a toujours espéré" apporter un tel changement, mais aurait préféré que ses algorithmes apprennent à rédiger des résumés à partir des habitudes de ses conservateurs.

Les employés de Trending, qui ne font plus partie de l'entreprise (pour le dire de manière euphémique), ont soupçonné qu'ils avaient été embauchés pour former les intelligences artificielles.Compte tenu des aveux de Facebook, il semblerait que leurs soupçons étaient bien réels. Facebook a embauché des journalistes pour rassembler les informations, puis les machines ont appris leurs habitudes. Cependant, contrairement aux éditeurs humains, les machines n’ont pas de bons détecteurs.

Megyn Kelly recherche sur Facebook un article qui n’a aucun fondement dans la réalité. pic.twitter.com/31f4ERnzHI

- Kyle Blaine (@kyletblaine) 29 août 2016

Facebook affirme qu'il y a «encore des personnes impliquées dans ce processus pour s'assurer que les sujets qui apparaissent dans Trending restent de haute qualité», mais cette histoire de Megyn Kelly suggérerait le contraire.

$config[ads_kvadrat] not found