«The Flash» de Kevin Smith est entré dans la Speed ​​Force et c'était un vrai déchiqueteur

Anonim

C’est un peu injuste pour le reste des réalisateurs de télévision que "Le Rinos Dinosaure", la tranche de cette semaine de Le flash, a été réalisé par l'auteur Kevin Gen-X élevé en élevage de Jersey. Il n’est pas inhabituel que des cinéastes ayant des marques distinctes disparaissent dans le support de télévision destiné aux écrivains et aux producteurs, mais Smith l’a fait de manière si magnifique et si transparente que l’exploit menace de faire oublier les efforts du reste du monde.

Après la «Rupture» de la semaine dernière, Barry Allen (Grant Gustin) se désintègre dans la Speed ​​Force et passe un examen dickensien. La force de la nature scientifique qu'est la Speed ​​Force prend une forme rêveuse, sous l’apparence de la famille et des amis de Barry, l’obligeant à s’épanouir s’il souhaite retrouver sa super vitesse. Dans le même temps, l’expérience de Harrison Wells (Tom Cavanagh) réveille le méta-humain décédé, Tony, alias Girder (Greg Finley), l’intimé d’enfance de Barry qui est devenu une brute métallique et terrorise S.T.A.R. Des laboratoires comme un monstre d’horreur des années 80.

«Le dinosaure fugitif», nom stupide rendu poignant car c’était le livre préféré de Barry avant le coucher, exploite impitoyablement Le flash Les meilleurs éléments narratifs ont un effet remarquable. Chaque fois que Barry traite avec sa mère Nora (Michelle Harrison), il est toujours touchant, mais Le flash a sagement évité de trop y aller. Mais l'intrépide Smith et le scénariste Zack Stentz en profitent agressivement pour s'éloigner des charges du seau, emportant toutes nos larmes.

Smith a toujours eu le goût de la douceur derrière l'humour aigre, comme dans le cas de son examen à mi-chemin à mi-30 ans, Commis II. Mais Le flash, émission familiale sur un réseau de diffusion, ne risque pas d’être juvénile. Pas de pets ou de bites ou Guerres des étoiles débats, Le flash séjours Le flash meilleur et la douceur de Smith est d’autant plus riche et savoureuse.

Et c’est drôle. Que ce soit un crédit pour Stentz ou Smith, Le flash, bien qu’un spectacle amusant apporte déjà son jeu A aux côtés de la sensibilité à l’horreur des années 80, un genre que Kevin Smith doit connaître assez intimement. En tant que zombie imposant, Girder devient Jason Voorhees, mais sa fonction n’est pas grotesque. C’est plutôt une chance pour S.T.A.R. Laboratoires à intensifier, avec des rires solides et des gloussements provenant des excellentes livraisons et des compositions chimiques de la distribution.

Cela ne marche pas tout à fait. Barry et Nora sont si bons que cela aurait dû être un épisode complet, et le retour de Barry pour arrêter Girder est bien trop commode pour être une coïncidence. Cela aurait pu et aurait dû être un moment de victoire pour S.T.A.R. Labs, mais Barry réacquérant sa super vitesse doit être démontré parce que le complot le nécessite.

Oui, il y a un camée Jason Mewes, mais ne vous inquiétez pas Flash fans, c’est inoffensif. De même que Smith Le flash, une icône de nerd au franc-parler, mais vieillissante, qui semblait au début mal à l'aise pour le super-héros de DC, à la fois biaisé et propre. Mais il possède une excellente compréhension de la matière (vous pouvez regarder Smith-cry regarder la finale de la saison 1 de l’émission sur YouTube, pour une raison quelconque) et a fait preuve de discipline pour éviter de marquer son épisode «The Kevin Smith Episode». Le flash Le meilleur absolu. C’est tellement bon, ça vous fera pleurer.