Le législateur européen à gauche sur la collecte de données Tinder

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Le L- #OueCestMoi #1

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Anonim

Tinder ne va pas «faire match» avec le membre du Parlement européen Marc Tarabella.

Tarabella a récemment exhorté ses collègues législateurs de l’Union européenne à déterminer si les politiques de la société en matière de collecte de données enfreignaient la loi et à «rechercher» d’autres services peu transparents sur la manière dont ils utilisaient les données des clients.

Il affirme que Tinder continuera à utiliser les données, les photos et d’autres informations d’une personne, même si cette dernière désactive son compte. «Le consommateur européen doit choisir quoi sic partager ces informations avec des tiers», a-t-il écrit dans un message Facebook, traduit du français original. "Mais il est trop souvent victime du manque de transparence orchestré par des entreprises peu scrupuleuses."

Tarabella a également affirmé que d'autres applications, telles que Runkeeper et Happn, collectent également des informations en arrière-plan sans informer leurs utilisateurs qu'elles le feront. On leur dit également de vendre ces données à des tiers sans le consentement de leurs clients. Si Tarabella avait raison, ces pratiques seraient contraires aux lois européennes adoptées en 2015.

Les lois de l’UE sont beaucoup plus strictes que des protections similaires aux États-Unis et de nombreuses entreprises américaines ont eu du mal à les respecter à l’étranger, car leur activité repose sur la collecte et la vente de données de manière moins transparente.

Tout cela pourrait toutefois changer une fois que l'UE aura mis en place son nouveau «bouclier de protection de la vie privée», qui obligerait les entreprises à gérer en toute sécurité les données voyageant à l'étranger.

Mais pour le moment, les entreprises américaines s’efforcent toujours de s’adapter aux règles de l’UE. Selon Tarabella, Tinder, Runkeeper et Happn n’ont pas vraiment réussi dans cette entreprise. Les applications doivent être «justes, transparentes et faciles à comprendre pour les utilisateurs», a-t-il déclaré, mais les utilisateurs sont souvent victimes du «manque de transparence orchestré par des entreprises peu scrupuleuses».

Cela ne se limite pas non plus aux applications mobiles. Les grandes entreprises comme Microsoft ont également été critiquées pour leurs pratiques en matière de collecte de données, et Facebook en particulier a suscité la colère des citoyens européens qui ont envahi leur vie privée.

Tarabella affirme que les personnes ont un droit fondamental à la vie privée et que «les entreprises qui enfreignent ces droits doivent en payer le prix!» Si ses collègues législateurs sont d'accord, il est possible que ces applications mobiles doivent modifier leurs pratiques de collecte de données ou courir le risque d'être impliqué dans des batailles juridiques à l'étranger.

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