Pourquoi Dexter le paon de soutien émotionnel a été arraché d'un avion

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DEXTER AURA UNE NOUVELLE SAISON: IDÉE NULLE !

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Anonim

Une femme qui avait tenté d'amener son paon, Dexter, à bord d'un vol d'United Airlines avait été refusée samedi, montrant à quel point certains propriétaires étaient déterminés à avoir leurs animaux domestiques à leurs côtés. Des animaux de tous les types ont été aperçus lors de vols d'embarquement au cours des dernières années. Ils venaient d'un cochon qui avait été enlevé après avoir déféqué pour devenir une dinde qui semblait véritablement choquée d'être aussi haute dans les airs.

Ces animaux, y compris le paon, ont été revendiqués par leurs propriétaires comme des animaux à support émotionnel (AES). Bien que les compagnies aériennes soient légalement tenues d'autoriser les AES à bord sans frais supplémentaires en vertu de la loi sur l'accès des transporteurs aériens, les animaux ne peuvent pas être trop gros pour être logés dans la cabine ou être dangereux pour les autres passagers. La taille et le poids de Dexter le paon, qui a d'ailleurs un compte Instagram fantastique, lui ont permis de dépasser la limite autorisée, selon United Airlines. Certes, l’oiseau est photographié avec son plumage bien rangé, mais comme un bagage à main trop rembourré, il risque de s’étendre au-delà de sa capacité à se glisser dans un bac supérieur ou sous le siège.

Pour obtenir une ESA, un propriétaire doit simplement disposer d’une note de médecin légitime indiquant son handicap et la manière dont l’animal en question fournit un soutien. La note peut être par téléphone ou même en ligne. La simplicité de ce processus signifie que les gens réclament une ménagerie d’animaux en tant que systèmes de soutien indispensables, affichant leurs notes pour amener des chiens au cinéma ou un kangourou à McDonald’s.

Mais cela a également conduit à des abus du système. De nombreux propriétaires d’animaux qui n’ont pas de handicap légitime réclament une ESA parce qu’ils ne veulent pas laisser leur animal à la maison ni payer pour la pension. Comme l'a démontré Patricia Marx pour le New Yorker, nombreux sont ceux qui croient qu'une note de l'ESA est une loi, autorisant des animaux comme les tortues, les serpents et les lamas dans les restaurants, les musées et les grands magasins. Mais la loi stipule uniquement que ces animaux sont autorisés dans les avions (avec restrictions) et dans les bâtiments qui ne permettent pas les animaux domestiques.

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Un article partagé par Dexter The Peacock (@dexterthepeacock) sur

En ce qui concerne les voyages aériens, chaque compagnie aérienne a ses propres règles, il est donc préférable de vérifier au préalable. (Delta a récemment modifié ses règlements en matière d'animaux, exigeant des preuves préalables de formation et de vaccination.) Ceux qui tentent de contourner les règles énervent évidemment les passagers qui comptent sur les animaux pour les aider. L'exploitation d'un service dont certains dépendent pour leurs capacités émotionnelles ou physiques entraîne des tracas inutiles, aggravant la situation difficile pour ceux qui tentent de voyager.

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