L'ESA attend toujours d'apprendre si Schiaparelli a atterri sur Mars ou s'est écrasé

$config[ads_kvadrat] not found

Satisfying Video l Kinetic Sand Nail Polish Foot Cutting ASMR #7 Rainbow ToyTocToc

Satisfying Video l Kinetic Sand Nail Polish Foot Cutting ASMR #7 Rainbow ToyTocToc
Anonim

Le sort de la mission ExoMars de l’Agence spatiale européenne (ESA) est dans la balance. Les responsables de l’ESA attendent avec impatience de savoir si l’atterrisseur Schiaparelli de la mission s’est frayé un chemin à la surface de Mars, s’il a été victime d’un accident mortel ou autrement.

L'atterrisseur Schiaparelli - faisant partie d'une mission conjointe des agences spatiales européenne et russe - s'est séparé de son homologue en orbite, le Trace Gas Orbiter (TGO), le 16 octobre, pour se préparer à l'atterrissage. C’est la principale directive: tester les technologies d’entrée, de descente et d’atterrissage (ou EDL) que le duo utilisera pour envoyer le successeur de Schiaparelli à la recherche de la vie sur la planète rouge en 2021.

TGO s'est inséré avec succès sur l'orbite martienne. Malheureusement, 218 jours après le lancement initial d’ExoMars, l’ESA n’a aucune idée si Schiaparelli a atteint son propre objectif, qui est de s’implanter en toute sécurité sur la surface de la planète rouge.

Atterrir sur Mars n'est pas une mince affaire. À ce jour, seuls sept vaisseaux spatiaux ont réussi à atterrir sur Mars - et les sept appartiennent à la NASA. Afin de réussir leur atterrissage, les ingénieurs ont programmé l'atterrisseur avec une série de manœuvres de freinage similaires à celles utilisées par la Curiosity en 2012.

Il n'y avait qu'un seul coup à cela, donc l'approche à grande vitesse et chorégraphiée doit être faite correctement. Sinon, le vaisseau spatial pourrait s'écraser sur la surface de la planète. Au cours de son voyage de six minutes à travers la mince atmosphère martienne, Schiaparelli a été soumis à un sacré voyage.

S'appuyant sur un bouclier thermique, le destin de Schiaparelli se dirigeait vers la surface à près de 20 000 km / h. Les parachutes se ralentissaient de 13 000 km / h à environ 150 km / h, avant qu'un ensemble de propulseurs ne se déclenche, permettant à l'engin de se poser au sol. en tact.

Bien que la tâche principale de Schiaparelli soit de tester la technologie pour de futures missions, l’engin (s’il survit au débarquement) effectuera également un peu de science. La saison des tempêtes de poussière est à son apogée sur Mars et, même s’il n’ya aucun signe de tempête imminente, la NASA a averti que nous pourrions assister à une tempête mondiale rare au cours des prochaines semaines.

Tant que les piles de Schiaparelli dureront, l’atterrisseur en forme de soucoupe recueillera et analysera des données sur ces types de tempêtes. Bien que les tempêtes de poussière sur Mars ne ressemblent pas à leurs contreparties cinématographiques (comme celle représentée dans le Martien), elles peuvent être une nuisance. Les tempêtes de poussière génèrent des champs électriques, et les scientifiques sont particulièrement intéressés à essayer de mesurer la quantité d’énergie produite afin de mesurer les effets des tempêtes sur les communications et autres équipements électroniques. En mesurant la vitesse du vent, l'humidité, la pression et la température, les scientifiques espèrent comprendre comment se forment ces tempêtes poussiéreuses.

L’ESA a doté Schiaparelli d’une radio ultra-haute fréquence (UHF) lui permettant de transmettre des données directement à l’ESA, ainsi qu’à une flotte d’engins spatiaux en orbite autour de Mars. L’ESA espérait avoir des nouvelles de Schiaparelli juste après son atterrissage sur Mars, mais cela n’a pas été le cas. Le signal n'est jamais venu.

L’agence spatiale a demandé de l’aide à l’orbiteur Mars Express, mais elle n’a pas pu confirmer le signal de Schiaparelli. La tentative de contact avec l’atterrisseur se fera avec l’Orbiteur de reconnaissance Mars, de la NASA, qui survolera le site d’atterrissage de Schiaparelli entre 12h49 et 14h49. Heure de l'Est et 13h03 Est. Le satellite transmettra tous les signaux potentiels environ une heure plus tard.

La prochaine occasion d'entendre @ESA_EDM sera une passe relais avec le vaisseau spatial MRO de @ NASAJPL #ExoMars

- ESA (@esa) 19 octobre 2016

Notre livestream #ExoMars est de retour à 20h25 (18h25 GMT) avec les dernières nouvelles de #Mars sur @ESA_EDM & @ESA_TGO

- ESA (@esa) 19 octobre 2016

Même si Schiaparelli a connu une descente fatale, la mission ExoMars n’est pas une perte totale. Malgré le silence radio actuel de l’atterrisseur, TGO - qui agit comme le vaisseau-mère de Schiaparelli - s’est enregistré comme prévu à 12h34. Est.

C'est toujours un spectacle bienvenu. Reste à confirmer l’orbite, mais il y a un joyeux @ESA_TGO bavard qui parle au DSN! pic.twitter.com/jvVuJpwBdr

- Bobak Ferdowsi (@tweetsoutloud) 19 octobre 2016

Néanmoins, si la perte de Schiaparelli est confirmée, cela pourrait porter un coup dur aux projets futurs de l’ESA d’enquêter sur Mars.

$config[ads_kvadrat] not found