Google, Amazon, Facebook, Twitter et Microsoft prendront en charge Apple devant les tribunaux

$config[ads_kvadrat] not found

Why Apple, Amazon, Facebook and Google are going to Congress

Why Apple, Amazon, Facebook and Google are going to Congress
Anonim

Beaucoup de PDG ont déjà pris le train en marche dans l'affaire Apple contre le FBI, mais aucun d'entre eux n'a encore mis son argent là où il se trouve. Des rapports publiés jeudi suggèrent qu’ils vont maintenant: Google, Amazon, Facebook, Twitter et Microsoft vont apparemment déposer des mémoires amicus au nom d’Apple.

Lorsque les PDG de ces sociétés ont émis leur soutien public, il leur a souvent semblé le faire, que ce soit par manque de motivation ou par obligation. Mark Zuckerberg, de Facebook, par exemple, lorsqu'on lui a posé des questions directement sur l'affaire Apple, a répondu: «Nous sympathisons avec Apple pour celui-ci.» Mais il s'est ensuite expliqué et, dans son explication, a tracé des lignes dans le sable pour se séparer de PDG d'Apple, Tim Cook.

Sundar Pichai, PDG de Google, a agi de la même manière. (John McAfee a peut-être adopté l'approche la plus sérieuse - bien que non conventionnelle - de soutenir Cook et Apple.)

L’ancien PDG de Microsoft, Bill Gates, ne l’avait toutefois pas fait: Gates a en fait déclaré qu’Apple devrait aider le gouvernement. Pas moins, son ancienne compagnie se joindra à la fête.

Amici curiae signifie littéralement «amis de la cour», mais dans ce cas, cela peut davantage représenter «des ennemis de la cour». Quoi qu'il en soit, maintenant que - à ce jour - Apple a officiellement résisté à l'ordonnance du tribunal qui l'obligeait à assister le FBI, Apple s'en va avoir besoin de tous les amis qu'il peut avoir. Ces mémoires devraient donc réellement aider: Le juge californien qui a rendu l’ordonnance devra lire et examiner ces déclarations.

Pour Apple, la question est de savoir si la conformité constituerait un fardeau déraisonnable. Si ces entreprises expriment leur conviction qu'il aurait et surtout s’ils vont jusqu’à affirmer qu’une victoire du gouvernement entraînerait à terme une charge déraisonnable pour leur propre entreprise, alors ces mémoires devraient permettre dans une certaine mesure de persuader le juge Pym que la loi All Writs Act ne peut pas forcer l’aide d’Apple dans cette affaire..

Outre ces entreprises technologiques, des défenseurs des droits civils et des droits à la sécurité se joignent à la mêlée: Amnesty International, l’Union américaine des libertés civiles et l’Electronic Frontier Foundation soumettront également leurs propres mémoires amicus. Le public, en revanche, reste prévisible divisé: un cas à enjeux élevés comme celui-ci est par nature polarisant. Dans un sondage Pew publié cette semaine, 51% des personnes interrogées ont déclaré qu'Apple devrait déverrouiller l'iPhone pour aider le FBI. Par ailleurs, 38% ont déclaré qu'Apple ne devrait pas déverrouiller le téléphone pour assurer la sécurité des informations de ses autres utilisateurs. Seulement 11% n’ont pas d’opinion.

$config[ads_kvadrat] not found