La couche "collante" brevetée de Google vise à protéger les piétons qui se font frapper par des voitures autonomes

How to use IOD Moulds (or is it IOD Molds?)

How to use IOD Moulds (or is it IOD Molds?)
Anonim

Cette semaine, Google a obtenu son brevet pour une solution aux peurs de tous ceux qui craignent de tomber sous le choc d’une voiture autonome. Bien que l'idée n'empêche peut-être pas une voiture de heurter quelqu'un, elle vise à empêcher la victime de subir des blessures potentiellement plus graves ou mortelles. Le brevet, délivré le 17 mai, est une solution simple, sans application, pour fonctionner: une couche adhésive supplémentaire sur la coque extérieure du véhicule.

L'idée est aussi simple. Lorsque la plupart des accidents impliquant un piéton heurté peuvent avoir pour conséquence que la victime est jetée ailleurs ou même dans la circulation, l'adhésif agira de manière à la "coller" directement sur la voiture, évitant ainsi des blessures supplémentaires. Le brevet le décompose en termes plus scientifiques:

Idéalement, le revêtement adhésif sur la partie avant du véhicule peut être activé au contact et pouvoir adhérer au piéton presque instantanément. Cette action instantanée ou quasi instantanée peut aider à limiter le mouvement du piéton, qui peut être transporté à l'avant du véhicule jusqu'à ce que le conducteur du véhicule (ou le véhicule lui-même dans le cas d'un véhicule autonome) réagisse au freine… En tant que tel, le véhicule et le piéton peuvent s’arrêter plus progressivement que si le piéton rebondissait sur le véhicule.

Il n’est pas encore confirmé que Google envisage d’appliquer la couche externe collante à ses propres voitures autonomes, mais l’objectif du brevet relatif à cette technologie mise à la disposition des voitures autonomes est évident. Le brevet indique également que l'adhésif peut potentiellement être utilisé sur d'autres types de voitures. Le brevet est nécessaire à un moment où le nombre de décès dus au trafic piétonnier augmente à un rythme inquiétant et est motivé par la nécessité de garder les voitures autonomes aussi sûres que possible, même lorsqu'elles ne le sont pas.