Obtenez des photos de la Terre sur votre fil Twitter à un million de kilomètres de distance

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Tuto photo studio : Bien régler son boîtier

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Anonim

Depuis deux semaines, j’observe une nouvelle image de la Terre prise du ciel toutes les deux heures environ. Les images proviennent du robot britannique Twitter, DSCOVR: EPIC, et de la caméra d’imagerie polychromatique terrestre de l’observatoire du climat dans l’espace. La caméra, reliée à un satellite situé à un million de kilomètres environ, prend régulièrement des photos des planètes traitées par la NASA sur une période de 36 heures, puis grattées par le bot, qui les publie ensuite sur le site de réseau social. J'ai mis en place des notifications push comme un exercice dans une perspective extrême. Mon téléphone me rappelle que, comme tout stress que je ressens, je suis moi-même une erreur d'arrondi.

Quand j’ai décidé d’intégrer DSCOVR: EPIC dans ma vie, je n’attendais pas grand chose. Bien que le vol spatial ait apparemment de profonds effets spirituels (l’effet général étant l’exemple le plus notable), il existe peu de preuves à l’appui de la conclusion selon laquelle il existe un quelconque effet sur un vol simulé. Cela dit, l’imagerie par satellite offre une alternative si distincte à la vision de la vie quotidienne orientée vers l’horizon que je pensais que l’exercice de ma petite taille dans mon esprit pouvait être un exercice intéressant tout en essayant de vivre ma vie normale.

L’observatoire du climat dans l’espace, ou DSCOVR, est perché à ce qu’on appelle un point lagrangien, où l’interaction entre la gravité du Soleil et la gravité de la Terre gèle un objet en place. DSCOVR se trouve au point 1 de Lagrangian (il y en a quatre autres) à des millions de kilomètres d’espace. Là, c’est une ligne droite de Sol à Terre. La caméra prend des photos en plein midi lorsque la planète tourne. La National Oceanic and Atmospheric Administration utilise le DSCOVR pour mesurer les vents solaires et permet également aux chercheurs de surveiller les nuages, la couverture végétale et la couche d'ozone à l'échelle mondiale.

Nous avons fait beaucoup de chemin depuis Earthrise d’Apollo 8, et si voir notre planète isolée de loin ne nous apporte pas tout le poids de nos émotions, c’est juste une question de désensibilisation. Après deux semaines de notifications push, le voyant vert clignotant de mon téléphone est passé de la nouveauté à l'irritation. L'espoir était qu'il y aurait une étape après cela - que les images pourraient devenir quelque chose de plus proche d'un mantra qu'un ennui. Cela ne s'est pas passé.

DSCOVR: Le bot Twitter de l’EPIC fait deux choses fantastiques: montrer des images de la Terre et montrer des images de la face sombre de la lune illuminée par le soleil. Cette seconde fonction ne se produit que dans la limite de certains alignements, mais constitue un départ plutôt palpitant par rapport à l'imagerie typique. Quant à cette première fonction, elle est incroyable, époustouflante et cohérente et, toutes ces années, à l’abri de l’aube des vols spatiaux, un peu banale.

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